Catégories : Humour, FESSESTORY sexe, BDSM,libertin, ABDL, fessée Rencontres BDSM Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme FETICHISMES au pluriel
il y a 6 ans
Résumé :
Dans ce petit texte, j'ai raconté avec franchise et sincérité, ce que j'ai vécu et ressenti, chez TSM lors d'un week-end. A la fin de mon petit récit TSM a ajouté sa touche personnelle.
Et ce qui nous tenaient à coeur, TSM et moi, c'est de pouvoir aussi partager quelques points :
-
Des couples peuvent jouer sans se « tromper » et en toute franchise puis complicité.
-
Que le BDSM n’est pas irrespectueux, bien au contraire et cela malgré les pratiques et les mots parfois utilisés.
-
Que ABDL et BDSM peuvent se côtoyer avec respect et même s’éclater dans des jeux communs.
Ces deux univers peuvent être complétement éloignés l'un de l'autre mais aussi étroitement liés et complémentaires.
L'ouverture d'esprit est une belle richesse, et le respect encore plus.
Bonne lecture.
...................
Le week-end était mal parti quand, le vendredi matin, je me suis levée fiévreuse et vraiment pas bien du tout …. J’ai bien entendu prévenu Monsieur TSM car je ne voulais pas m’imposer souffrante et potentiellement contagieuse.
Mais j’étais prête à y aller, même dans l’état dans lequel j’étais, car j’en avais envie, vraiment.
Nos nombreux échanges téléphoniques et par mails avaient poussé ma curiosité et mon envie à découvrir, LE fameux TSM dont j’avais souvent entendu parler et qui semblait correspondre à nombreuses de mes recherches.
Et pis je n’ai qu’une parole, je n’aime pas annuler quand je dis que je viens.
Pourtant je n’y allais pas sans craintes. Des dizaines de questions se sont posées en moi. Serais-je à la hauteur ? Vais-je supporter l’intensité de ce qui me sera infligé ? Est-ce que je suis une vraie soumise ? Car oui, ce genre de questions, on se les pose à force de tomber sur des allumés, qui ne pensent qu’à leur plaisir et qui considèrent la soumise uniquement pour un objet ….
Je me doutais bien, suite à nos discussions, que ce n’était pas le cas de Monsieur, car nous avions longuement échangé sur la vision de ce monde, si vaste et si complet. Et l’avantage c’est qu’il ne m’a pas caché être complément frappé ! Mais dans le bon sens du terme.
Une dernière chose m’angoissait, mais qui est complètement nulle, c’est l’utilisation constante du « Vous ». Pas uniquement dans le jeu, mais aussi dans le quotidien. J’ai bien compris, après ce week-end, pourquoi Monsieur y tenait, et j’ai fait tout mon possible pour le respecter et que cela devienne naturel. C’est une forme de respect mais c’est aussi une condition, une soumission dans le quotidien et en fait c’est aussi un lien entre le dominant et la soumise je pense. C’est un simple mot mais qui veut dire beaucoup. Un simple mot qui peut rappeler la condition que l’on a, mais aussi remercier le dominant de prendre soin de la soumise… Enfin, il est dur de mettre des mots sur des choses qu’on a ressenties en réel.
Vendredi en début d’après-midi j’ai commencé à préparer mes affaires pour le week-end. Mais j’étais complètement perdue. Tellement excitée et stressée que je ne savais plus ce que l’on s’était dit. J’ai donc relu nos mails et puis fait ma valise en priant pour ne rien oublier entre mes affaires de grande, les accessoires ABDL et mes divers médicaments… J’ai bien pensé à prendre des vêtements un peu plus « habillés », mais je n’en ai pas vraiment. Quant au maquillage, je me suis dit qu’il n’y en aurait pas besoin, j’aurais peut-être dû, mais bon, tant pis.
Et je me suis aussi préparée comme Monsieur le voulait : jupe de petite fille, couettes, pas de soutien-gorge et une Drynites qui m’avait été autorisée un peu plus tôt.
J’ai pris la route de façon assez sereine, une fois montée dans la voiture le stress était, bizarrement, passé. Ce qui me faisait le plus souci, c’était la température et mon état de fatigue. Au final la route s’est bien passée.
Arrivée aux abords de la maison, ne connaissant pas, j’ai loupé l’entrée et j’ai dû faire demi-tour. J’ai donc appelé Monsieur, qui m’a guidée et attendue à l’entrée du portail. Il ne m’a pas fallu longtemps pour voir que Monsieur m’attendait dans son rôle de médecin, chemise, cravate et blouse blanche à l’appui.
Le scénario de ma visite était le suivant : je vais être accueillie dans l’institut de Monsieur TSM, avec cours et visites médicales pratiquées par le médecin.
Je suis descendue de la voiture et là j’ai senti le stress monter.
Monsieur m’a fait la bise, ce qui m’a détendue un peu, j’ai prévenu Guillaume et ma copine que j’étais arrivée saine et sauve, pendant que Monsieur sortait ma valise du coffre.
Puis j’ai été invitée à le suivre dans la maison, dans l’institut. Tout de suite, il m’a dit de me mettre à l’aise et que le docteur allait m’ausculter, et que je devais quitter mon haut pour m’allonger sur la grande cage qui trônait au milieu du salon déjà préparée.
A ce moment-là, je ne voyais rien d’autre que cette cage et j’essayais d’imaginer ce qui allait se passer. J’ai enfilé un sarrau vert d’hôpital et me suis allongée.
A partir de ce moment là, les choses se sont enchaînées si vite que je ne me souviens pas des détails, enfin plutôt j’ai ressenti tellement d’émotions différentes que les choses se sont mélangées.
Je crois que j’ai eu le droit à un masque pour les yeux, tout de suite, afin que je ne vois pas ce qui m’arrive. Puis le médecin a commencé à m’ausculter la gorge, les seins, le ventre. Ensuite il m’a entièrement dévêtue et a commenté le fait que je portais une Drynites
Il a commencé à ausculter mon intimité jusqu’à dire une phrase qui m’a profondément vexée mais que j’ai comprise dans le jeu. Il disait que je n’étais pas propre et que c’était inadmissible donc j’ai dû aller me doucher. Tout était prêt, j’ai même cru que Monsieur allait le faire lui-même, mais non, il m’a laissée faire sûrement pour ne pas trop m’effrayer.
Après la douche je suis revenue sur la cage, où, une fois installée, Monsieur - ou plutôt le docteur – m’a attachée les jambes afin que je ne bouge pas pendant qu’il m’examinait. J’ai eu le droit à un spéculum enfin je crois. Puis un thermomètre dans les fesses, quelques commentaires du médecin aussi …. Et un jouet vibrant sur le clito c’était hummmm, j’étais un peu tendue mais tout de suite j’ai commencé à me détendre. J’ai eu le droit à un tout petit plug électro qui picotait, et aussi aux doigts de Monsieur que, j’avoue, j’aurais aimé avoir bien plus longtemps et plus insistant. C’est mon côté gourmande, mais chuuuut.
Je me souviens avoir joui. Ensuite j’ai dû me mettre sur le ventre et j’ai attendu que Monsieur prépare. J’entendais l’eau qui coulait donc je me suis bien doutée que j’allais avoir le droit à un lavement.
Plutôt rude comme entrée de jeu mais en même temps je savais pourquoi je venais. Le lavement n’a pas duré très longtemps, j’ai très vite senti l’eau entrer en moi, et Monsieur m’a bien donnée les consignes de serrer les fesses, il me semble avoir aussi eu quelques claques sur les fesses (très légères) et un peu du jouet vibrant aussi, mais avec les émotions la fatigue et la fièvre mes souvenirs ne sont pas très clairs.
Ah si j’ai été touchée, car Monsieur avait allumé les chauffages plus fort et la cheminée pour moi car je suis frileuse et que j’étais malade, j’ai trouver ça très gentil, mais qu’est ce que j’ai transpiré du coup…
Une fois le lavement passé, avec quelques crampes mais rien de méchant, Monsieur m’a aidée à descendre de la cage en me donnant des consignes pour ne pas lâcher le lavement avant d’arriver sur les WC. J’ai été obligée de soulager mes crampes et le lavement sur le WC porte ouverte, j’étais morte de honte ! Mais j’ai bien senti aussi que Monsieur ne s’imposait pas à moi en direct pour ne pas me faire fuir trop vite.
Il m’a dit de bien prendre mon temps et de bien me vider car pour la suite c’était important, sans rien dévoiler de ce qui allait suivre.
Après, forcément, j’ai de nouveau été à la douche et après la douche Monsieur m’a mise en couche, culotte plastique, body très kitch et grenouillère. Et comme j’ai râlé sur le serrage de la couche, j’ai eu le droit à un tour de scotch, mais ça j’avais fais un peu exprès car après avoir vu une ou deux vidéos où l’on voyait la couche pas très serrée, je me suis dit « ah non pas possible ça ! »
Au moment de parler du dodo, Monsieur m’a montrée la cage et m’a dit que j’allais passer la nuit dedans, pas loin de lui, car étant malade, je ne devais pas être loin. Mais en entrant dans la cage pour essayer j’ai commencé à bien stresser. Car d’une, elle me paraissait bien trop petite, « il y a des trous pour les jambes », me rassure-t-il. Euh oui, sauf que j’ai des jambes très longues que les trous m’arrivaient aux genoux, que j’avais peur de ne vraiment pas dormir, et de paniquer complet dans la nuit et de ne pas oser réveiller Monsieur, et au final vivre un enfer pendant la nuit complète !
Pis j’ai eu peur aussi par rapports à mes douleurs… celles qui reviennent sans prévenir, à la jambe, car quand je suis obligée de me lever en pleine nuit d’un bond, d’un seul et de marcher de longues minutes ou de masser de longs moments en pleurant pour faire passer la douleur, et bin dans une cage tout ça, si ça arrive ce n’est pas possible.
Mais bon je n’ai pas trop étalé sur ces douleurs car déjà que Monsieur m’a dit que j’étais une soumise d’occasion alors avec ça en plus ! Pourtant, c’est bien vrai que je suis une soumise d’occasion, toute foutue déjà, et je suis sûre que pleins de fois je me freine par peur d’avoir des douleurs ou parce que je suis mal foutue tout simplement.
Bref, Monsieur a eu la gentillesse de me proposer de négocier, en conduisant un peu la négociation… En parlant des aiguilles par exemples, j’ai bien compris que ça ferait plaisir à Monsieur de me faire découvrir les aiguilles et de lever les appréhensions que j’avais là-dessus. Et en fait, je crois qu’il a aussi simplement vu que ça me faisait réellement peur de dormir dans la cage donc il a peut-être voulu me proposer un truc un peu fou à faire pour voir jusqu’où j’irai.
Et bien en fait, à partir de ce moment là, j’ai comme un rideau de craintes qui s’est levé. Monsieur avait tout fait pour me mettre à l’aise et en confiance, il faut dire. Même la petite attention de la tétine en tout début de soirée, pendant l’auscultation.
J’ai longuement hésité, car quand même des aiguilles quoi !? C’est un peu fou !? Et là me suis dit « allez ma petite, tu es là, tu es avec quelqu’un qui maîtrise, tu as la chance de pouvoir tester des choses, en plus des choses qui ne te rebutent pas du tout, alors fonce et ne te pose pas de questions ! »
Donc j’ai accepté ! Et franchement sans appréhensions pour le coup car je savais que ce que Monsieur me disait sur la douleur était vrai, et il n’avait pas d’intérêts à me mentir là-dessus.
Je me suis donc laissée faire de façon détendue !
Après la soirée s’est terminée très tranquillement autour d’un repas, nous avons longuement discuté de plein de choses et j’ai aussi eu le droit à du piano et un peu de chansonnette, et même une histoire hi hi, j’ai trouvé ça très touchant vraiment et apaisant. Ensuite il m’a montrée où j’allais dormir, avec toujours la petite attention du chauffage, les indications si je voulais venir aux toilettes ou autres …. Et pis il m’a aussi dit qu’il me laisserait me reposer le lendemain matin pour qu’il puisse aussi travailler et j’avoue que j’ai été soulagée car j’étais vraiment épuisée.
J’ai pris mon téléphone, écrit et répondu à quelques personnes et moi qui pensais ne pas dormir très bien car toute seule dans un endroit que je ne connaissais pas du tout en plus dans une dépendance étant froussarde …. En fait rien de tout ça je me suis endormie comme un bébé épuisé et étais satisfaite de cette première soirée fort agréable.
Le lendemain matin, Monsieur m’a réveillée avec un bibi de jus de fruit et franchement c’était très gentil, et je pensais qu’étant réveillée comme une petite j’aurais le droit à un câlin de petite mais non, en même temps quand on se connaît très peu c’est dur d’avoir ce genre de gestes, je ne sais pas comment j’aurais réagi d’ailleurs.
J’ai pris le temps d’écrire à ma copine que j’étais en vie et aussi appelé mon homme, pour lui parler de ce que j’avais vécu la veille au soir et que c’était wahou ! Et que bah les aiguilles pour de vrai ça fait pas mal. Mais que par contre le body que je portais…. Euh …… voilà quoi.
Après avoir rejoint la maison et discuté un peu, Monsieur m’a invitée à prendre une douche en même temps y’en avait besoin car bien eu chaud et pis bah j’avais quand même utilisé ma couche correctement. Je pensais qu’il allait venir vérifier, mais même pas. En même temps comme ça au réveil, ça fait du bien d’avoir un tout petit peu d’intimité.
Après m’être préparée, nous avons été faire un petit tour visite du coin, en voiture. Avant de partir Monsieur m’a présenté deux plugs en métal. Ça, je n’en avait jamais porté des comme ça. Je devais choisir entre un plus petit que l’autre, plus arrondi mais qui je pense resterait mal en place sans sortir, et un plus gros qui paraissait plus adapté à ma souplesse et surtout plus resserré à la base pour ne pas s’enfuir.
Je pensais que c’était Monsieur qui allait me le mettre mais non, j’ai dû le faire seule devant lui. Alors je pense que j’ai paru un peu gauche quant à ma façon de m’y prendre. J’aurai pu avoir honte, aussi, de devoir faire ça comme ça. Mais pas du tout j’étais plutôt excitée et fière de sortir « remplie » comme une soumise peut le faire régulièrement. J’avoue que j’ai aussi pensé que Monsieur voulait me préparer à d’autres choses qui pouvaient suivre de ce côté-là, après notre ballade.
Nous sommes partis faire un tour en voiture, c’était sympa de découvrir les alentours et surtout ça faisait prendre l’air. J’aime varier les plaisirs, même les plus simples. Par contre, j’étais surprise de sentir aussi bien le plug en moi, sûrement à cause de son poids. Mais je l’ai trouvé incroyablement doux à porter, même plus doux que ce que j’ai moi, dans ma collection personnelle.
Après notre ballade, nous avons mis en chauffe pour le repas et j’ai du retirer le plug et bien sûr faire une petite toilette pour ne pas être sale. J’ai rincé le plug puis mis de côté pour le nettoyer et le désinfecter plus tard. D’ailleurs, dans la matinée j’avais déjà dû nettoyer les jouets utilisés la veille et j’ai trouvé ça très bien de participer au rangement et nettoyage mais aussi ça permet de montrer le sérieux que Monsieur tient à avoir quant à la désinfection du matériel. Même si j’avoue que le produit utilisé ne me paraît pas si adapté.
Et donc une fois propre, pendant que le repas était en cuisson, j’ai eu le droit de tester la canne anglaise, pas si terrifiante que ça au final. Je m’en faisais une frayeur, rien que d’en entendre le nom, mais ça fait plus de bruit que de mal. Après bien sûr ce n’étaient pas des coups violents ou pour punir. J’avais un peu peur, car je suis tombé sur pas mal de dominants qui ne savaient pas forcément gérer leur force, et là, Monsieur savait très bien manier ce genre d’objet et doser l’intensité en fonction du désir recherché.
Après Monsieur m’a initiée aux martinets et aux fouets, qui peuvent vraiment faire peur. Le fouet, j’avais déjà essayé avec une personne qui maîtrisait bien, mais un seul fouet pas de multiple. Là, quand il ma dit qu’il y en aurait plusieurs en même temps je me suis dit oula …. Et bien en une seconde la crainte était passée, allez ! On y va ! J’étais attachée les bras en l’air, nue, au milieu du salon, puis masquée. Et à partir de ce moment-là tous mes sens se sont mis en éveil. Je sentais les martinets dans un premier temps, mais rien de violent c’était même plutôt doux, parfois un peu piquant mais incroyablement excitant. Les choses se sont un peu accélérées mais j’étais tellement à l’affût de se qui allait arriver que je ne lâchais pas vraiment prise.
Et nous sommes passés aux fouets, et là j’ai complément lâché, mon cœur s’est accéléré, mon souffle aussi, je sentais des frissons me parcourir de partout, excitée comme jamais. Et pas du tout douloureux, certains coups pincés un peu plus mais juste de quoi donner un coup de pulse à l’excitation déjà bien présente. Je ne savais plus où j’étais, heureusement que j’étais attachée d’ailleurs j’aurais pu tomber plusieurs fois. En plus, Monsieur y avait joint par moment un peu de vibration pour me faire chavirer.
Mais pendant tout ça, c’est la proximité avec Monsieur qui m’a troublée ! Déjà c’était un plaisir inédit donc troublant ! Mais Monsieur tournait autour de moi, je sentais la chaleur de son corps, j’entendais aussi son souffle s’accélérer en même temps que le mien. Et à chaque fois qu’il s’approchait de moi je frissonnais de désir et d’excitation. Ce qu’il m’infligeait était si bon ! Chaque petite « morsure », chaque souffle dans le cou, et dans le dos me faisait chavirer un peu plus dans le plaisir c’était vraiment euh… WAHOUUUUUU. Sans compter sa bouche sur mes tétons. C’était si bon que j’ai eu l’impression que ça durait à la fois pas longtemps mais en même temps une éternité, c’est bizarre comme sensation. Après avoir joui, Monsieur m’a détachée et aidée à m’allonger au sol pour reprendre mes esprits pendant un petit moment.
Nous avons discuté un moment et on est passé à table, et il y en avait bien besoin j’étais épuisée et vidée.
A la fin du repas, pendant lequel nous avons discuter d’un multitude de choses, j’ai débarrassée et puis Monsieur m’a dit qu’il allait se reposer, que je devais le réveiller de façon douce et avec un café tiède 40min plus tard. J’avoue que j’ai été surprise car pas l’habitude de ce genre de chose … Je pouvais faire ce que je voulais pendant ce temps, mais j’avais quand même des choses à nettoyer et ranger. Puis après je me suis assise sur le canapé, avec mon tel pour communiquer avec ceux qui s’inquiétaient pour moi.
Après ces 40 min, il fallait bien aller réveiller Monsieur, mais j’avoue que je ne savais pas trop comment m’y prendre. Donc après m’être assurée que le café était tiède et non trop chaud j’y suis allée et j’ai caressé doucement le bras de Monsieur et je me suis agenouillée près du lit. On a échangé quelques mots, puis je ne sais plus trop comment c’est venu, mais il y a eu une proposition de massage. J’ai été chercher le tube de gel dont il m’avait parlé et j’ai commencé à lui masser le dos. J’avoue que ça m’a fait assez bizarre mais j’ai trouvé ça sympathique, et ça permettait de détendre un peu l’atmosphère. Et c’est un partage je trouve, il m’avait fait énormément de bien avant, donc essayer de faire un peu de bien à ma façon je trouvais ça un juste retour des choses.
Après ce réveil en douceur, nous avons été prendre un café et un thé dans la cuisine et discuter. Et là, Monsieur m’a dit que parfois il hésitait à faire où ne pas faire certaines choses qu’il aimerait, car on apprenait à se connaître et qu’il faut toujours un temps d’adaptation pour tâter les limites de l’autre.
Je l’ai rassuré car j’étais encore bien loin de mes limites ! Et surtout j’étais en totale confiance. Je ne sais pas comment l’expliquer d’ailleurs. C’est assez bizarre, je n’ai pas l’habitude d’accorder ma confiance comme ça, aussi facilement. Je suis plutôt devenue méfiante et sur la réserve avec le temps, à force de prendre des claques, ou de rencontrer de mauvaises personnes …
Mais là j’étais un brin taquine et surtout je n’avais pas peur d’aller vers de nouvelles aventures. Comme si, au final on se connaissait déjà un peu. Il m’a donc proposé une expérience sans vouloir m’en dire plus, et je ne voulais pas savoir de toute façon pour ne pas gâcher la découverte.
Après ce temps d’échange fort intéressant sur nos pratiques ou simplement sur nos vies respectives, je me suis de nouveau retrouvée nue au milieu du salon, à me laisser attacher avec de la corde cette fois-ci. Juste avant, Monsieur avait été allumer l’eau pour remplir la baignoire prétextant un bain … Mais pas folle la guêpe ! Je me doutais un peu que ce n’était pas pour son bain ! Mais que j’allais expérimenter quelque chose en rapport avec de l’eau. Le contenu exact, je ne savais pas, même si je me doutais que ça allait inclure un jeu sur la respiration. Mais honnêtement je ne me suis pas sentie en panique du tout. Pourtant j’aurai pu, ce n’est pas une pratique que j’envisageais ce week-end là - où à n’importe quel autre week-end d’ailleurs, me direz-vous !!! Je suis complètement folle en fait !
Monsieur m’a attachée et m’a dit que je ne pourrais pas jouer la voyeuse pendant son bain et m’a demandée pourquoi. J’ai joué le jeu et répondu que je serais attachée sur cet anneau. Et là, surprise, car je vais avec lui dans la salle de bain ! NON ?! Sérieux, je m’en doutais pas du tout (je rigolais un peu intérieurement). Bon, par contre, petit moment de panique pour rentrer dans la baignoire et surtout m’asseoir dedans. Attachée comme j’étais il m’était difficile de me retenir si je glissais. Et je me suis dit que Monsieur ne pourrait pas me retenir si je glissais (encore et toujours cette partie de moi hyper froussarde de me faire mal). En fait, Monsieur a bien su me retenir et m’accompagner dans cette descente pour s’asseoir. Pis même pour m’allonger ensuite.
Ça m’a fait quand même un peu bizarre de le voir rentrer avec moi dans la baignoire mais en même temps je trouvais cette proximité rassurante pour accompagner cette pratique étrange.
D’ailleurs, cette pratique je suis assez partagée sur ce que j’en ai éprouvé. Car c’était assez bizarre de se laisser mettre la tête dans l’eau. Cela demande de la concentration pour ne pas paniquer et garder son calme. Mais ça demande aussi et surtout de la confiance en l’autre car on laisse un peu « notre vie » dans les mains de l’autre. En gros faut pas avoir peur de se noyer. En même temps, on était très loin du risque ! D’ailleurs je pense que c’est un peu l’appréhension de la pratique qui m’a fait tenir que peu de temps sous l’eau.
Par contre, je n’ai pas du tout été excitée par cette pratique. Mais je l’ai quand même trouvée forte en émotions. C’est-à-dire, qu’au moment où l’on a la tête sous l’eau avec le maître dessus et la main qui nous retiens, on se sent complètement contrôlé et porté par l’autre. On est obligé de lâcher prise et de faire confiance à l’autre. Je me suis laissée faire mais un peu sur la réserve quand même. En tout cas, je ne sais pas si ce genre de pratique pourrait me faire m’envoler.
Et après, j’ai dû me détacher toute seule, euh comment je fais ça moi ?! Heureusement que Monsieur m’a aidée en enlevant au moins une corde. Mais je n’y suis quand même pas arrivée seule, pourtant j’ai essayé mais je ne tirais pas sur les cordes car j’avais déjà mal aux poignets. Depuis que je m’étais allongée dans l’eau en fait, j’avais eu mal aux poignets, je pense que l’eau avait resserré un peu tout ça …
Une fois sortie de l’eau et séchée, j’ai de nouveau été attachée et masquée pour une nouvelle séance de martinets et de fouets, mais aussi d’aspi tétons, de bâtons de massage, de frissons, de roulette (terrible, cette roulette) et d’évasion. En fait je n’ai pas vraiment de mots pour décrire ce que j’ai vécu à ce moment là. C’était fort, intense et cruellement bon. J’avais l’impression d’être connectée à Monsieur, qu’il savait exactement où poser chaque lanière, chaque objet, et où poser ses lèvres et ses doigts pour me faire perdre la tête. J’ai failli tomber plus d’une fois de plaisir, mais les menottes me retenaient, heureusement !
J’ai complètement perdu la notion du temps qui défilait et celle de l’espace dans lequel je me trouvais. Je sais que Monsieur m’a changée de sens à un moment, mais après plus rien. Je n’entendais que la musique et nos souffles respectifs. Je sentais de douces chaleurs sur le corps. Parfois ça claquait fort, juste pour me faire revenir sur terre et repartir encore plus loin dans ce tourbillon de plaisir. Et aussi dans cette complicité, les lèvres de Monsieur se sont posées sur moi plusieurs fois, c’était doux, chaud et très bon à embrasser. A cet instant précis j’ai un mot qui m’est passé par la tête, un seul : « Maître » Oui je me suis dit que ce que je vivais avec cet homme était tellement fort dans ma peau de soumise que j’aimerais l’appeler comme ça. Pour moi ça veut dire beaucoup, c’est une marque de confiance et de respect. J’espère un jour pouvoir l’appeler comme cela.
Monsieur allait au rythme de la musique, c’était enivrant. J’ai joui encore et de façon très intense. Monsieur m’a détachée et allongée sur une couverture au sol, pour reprendre mes esprits et il y en avait bien besoin. J’étais sur le ventre d’ailleurs avec le Magic entre les jambes qui vibrait encore. Je crois que j’ai joui encore et je suis resté allongée comme ça un temps infini. Au bout d’un moment, j’ai demandé si je pouvais enlever ce qui se trouvait entre mes jambes et là, Monsieur m’a carrément proposé de le rebrancher si je voulais et que j’avais carte blanche pour m’amuser avec. Je me suis fait jouir seule devant Monsieur c’était très bon et je n’ai même pas eu honte.
Ah, et juste avant tout ça dans le délire, Monsieur m’a annoncé que 3 mecs attendaient dans la cuisine pour me baiser, je savais que ce n’était pas vrai et plutôt que de jouer le jeu j’ai spontanément répondu que c’était pas vrai… Je crois que Monsieur l’a un peu mal pris parce que je casse le trip. J’étais vraiment désolée ce n’était pas mon intention, je trouvais ça rigolo, ce petit délire.
Donc après m’être fait jouir avec le Magic allongée sur le sol, Monsieur m’a remis le bandeau et fais patienter le temps d’installer une sex-machine. Je n’avais jamais testé cette machine. Et il vient me dire que les 3 mecs étaient venus pour moi. Après m’avoir empalée sur le gode, la machine a commencé à faire ses terribles vas-et-viens. C’était troublant encore une fois, mais j’ai joué le jeu car je m’efforçais d’imaginer ces mecs qui attendaient à la suite de l’autre pour me prendre comme ça sur le sol, complément offerte. En plus, j’avais le droit au Magic sur le clito. Je n’ai bien sûr pas pu résister au plaisir.
Après tout ça j’étais complètement HS ! En même temps trop d’émotions, mais c’était tellement bon de ressentir tout ça. Pas que le plaisir sexuel. Mais aussi l’échange, les frissons et le courant qui pouvait passer entre nous.
Nous sommes restés un moment dans le salon puis on est passé dans la cuisine pour préparer le repas et manger. On a passé une longue soirée à parler et échanger sur diverses choses, mais sur des choses aussi très personnelles de nos vies. D’ailleurs j’ai parlé de ma vie et mon passé, chose que je fais très peu, en tout cas sur les choses très intimes. Ça m’a fait drôle de me livrer aussi facilement d’ailleurs, et ça m’a même un peu brassé, de parler de ma famille… Nous avons aussi discuté de l’origine du monde BDSM pour moi …. Monsieur s’est confié aussi, j’ai bien l’impression qu’on a quelques points communs sur quelques petites choses, c’est peut-être pour ça que j’ai eu l’impression d’être comprise très vite et que les choses me semblaient très vite fluides. Je ne suis pas de nature à laisser paraître très facilement mes sentiments, mais je ne sais pas pourquoi j’ai eu envie de craquer un peu de parler de mon passé. Mais j’ai pris sur moi.
Bon, au moment du dodo, Monsieur m’a proposé de dormir avec lui et euh j’ai hésité trop peur qu’il y ait un piège, genre dormir dans la cage, ou par terre à côté du lit …. Donc j’étais contente mais je ne pouvais pas accepter sans m’assurer de la proposition. Au final c’était une proposition sans arrière-pensée sadique. J’étais contente de dormir avec Monsieur, même si les ronflements en début de nuit, ce n’est pas facile, mais dormir enlacés, c’est sympathique. Le reste de la nuit j’ai très bien dormi, comme un bébé.
Le dimanche matin j’ai pu dormir pendant que Monsieur travaillait sur son ordinateur. Puis après le réveil, un peu de nettoyage et de rangement, une douche pour se réveiller et hop, on bouge. Nous avons été faire un tour sur un petit marché - très petit - du coin. Une ballade qui permet de prendre l’air et de passer un moment convivial autour d’un verre en terrasse, à papoter et profiter du beau temps, c’était ressourçant aussi.
En rentrant, nous avons été voir les bêtes dans le jardin. Et Monsieur m’a offert une petite roulette (celle qui fait frissonner^^), j’ai été très touchée et un peu gênée aussi. Je suis comme ça, on ne me refera pas, hein.
Après la ballade dans le jardin, j’ai eu le droit à une sacrée fessée. J’ai eu les fesses bien rouges. Puis j’ai dû rester contre le mur sans faire tomber le briquet qui se trouvait entre ma tête et le mur pendant que Monsieur « vérifiait » l’efficacité du beau cadeau qu’il venait de me faire. Quelle torture, j’avais les fesses bien sensibles et marquées. Bah oui, il fallait bien que Guillaume puisse en profiter un peu. J’ai bien cru que le briquet allait tomber à un moment mais ouf, il est gentiment resté à sa place entre ma tête et le mur. Encore heureux, sinon je reprenais la même fessée.
Et comme je suis un peu maso sur les bords, j’avais la minette toute trempée d’excitation par la fessée. Des fois, je me dis que je suis une sacrée gourmande quand même ! Mais je n’ai pas honte bien au contraire, je le dis, je l’assume et j’aime ça. D’ailleurs je me trouve même très endurante au plaisir.
Enfin la journée arrivait bientôt à son terme, même si le week-end était passé beaucoup trop vite à mon goût, il fallait bien se préparer à reprendre la route. Trois heures seulement mais quand même trois heures. Après le repas, Monsieur m’a fait découvrir un truc de fou !!!!! Je ne sais même pas comment ça s’appelle, mais alors ce jouet là c’est sûr j’en aurai un, un jour. C’est un truc qui aspire et fait vibrer le clito mais mon dieu ! En 3 min à peine j’ai joui très fort. Monsieur m’a proposé de recommencer, à la seule condition que je reste un peu plus pour faire une sieste avant de repartir, car le plaisir ça fatigue. Je ne pouvais pas refuser c’était si bon. Oh la la, j’avais juste envie de crier « Merci Monsieur ! » pendant que je prenais mon pied à vitesse éclair. Et nous avons fait un câlin tout tendre et fermé nos yeux pour nous reposer.
Une petite sieste courte, mais qui a fait du bien. Maintenant il fallait reprendre la route. Je suis reparti avec le sourire et l’envie de revenir vite. Monsieur m’a dit qu’il aimerait aussi me revoir, ça m’a vraiment fait plaisir. Je doute toujours de moi, pas très souvent confiance en moi et mes capacités. J’ai souvent besoin qu’on me formule clairement ce genre de choses pour être rassurée.
Après, il y a plein de choses qui sont nouvelles pour moi, que je comprends mais dont il me faudra sûrement du temps pour les intégrer et les mettre en place. Comme remplir le verre de Monsieur quand il est vide. Je n’ai pas les yeux toujours dessus, pis en fonction de l’heure, avec quoi le remplir ? Préparer le café, ok, mais pareil, faut prendre le réflexe d’y penser …. Aider aux tâches ménagères ça va de soi mais c’est pas évident quand on connaît pas l’autre et les lieux. Je me sens un peu cruche en fait quand Monsieur parle de ses soumises, j’ai l’impression d’être complètement gauche ou ignorante. Pis je me dis qu’elles ont bien dû être comme moi un jour. Les choses qui peuvent nous paraître évidentes ne le sont pas toujours pour les autres, il suffit de le dire. Enfin ça, c’est plus facile à écrire qu’à faire, j’ose pas toujours dire ces choses… Après il va vraiment me falloir du temps pour toutes ces petites attentions.
Dans la voiture j’avais envie que d’une chose : rentrer, sauter sur mon mari, et pis ensuite lui raconter toutes les choses folles que j’ai vécue dans le week-end. Je sais qu’il aime savoir ce que je vis, et que je partage avec lui. C’est notre côté voyeur.
Bon dans la voiture aussi je me suis demandée si Monsieur accepterait de m’éduquer comme une de ses soumises, et surtout ce qu’il fallait faire pour l’être
Voilà, je me prends au jeu de cette histoire non pas pour impressionner mais pour coucher sur le papier ce que j’ai vécu, ce que j’ai ressenti. Bien qu’il soit trop difficile de se souvenir de tout et parfois les mots ne suffissent pas à exprimer ce qu’on a ressenti. Mais je sais que c’étaient des choses très fortes, et que j’ai envie de les vivre encore et d’aller encore plus loin dans cet apprentissage. De grandir dans ce monde et de m’épanouir. De m’offrir …. Mais surtout de partager.
...................................
Une petite suite de TSM
Je ne vais pas reprendre le déroulement des évènements, cela serait ennuyeux mais plutôt y apporter un complément d’information sur mon ressenti, mon approche et ce qui a fait que ce week-end était sublime.
Si cette adorable soumise stressait, je stressais aussi un peu malgré mes longues années d’expérience et de pratique. En effet, elle m’accordait sa confiance, il fallait que j’en sois digne en tout point. Suite à nos échanges, je savais « où je mettais les pieds » ce que je pouvais faire ainsi que ses interdits et petits soucis de santé. Mais en même temps, jusqu’où aller ?
Il fallait que je lui fasse vivre des choses qu’elle connaissait mais avec mon approche et mes astuces, puis que je lui en fasse découvrir de nouvelles. J’adore initier ou approfondir « les connaissances » et faire tomber les tabous ou interdits qui sont uniquement liés à la peur ou à l’inconnu. Je n’impose jamais rien, j’obtiens en expliquant et avec douceur ou je ne fais pas.
Pour éviter le blabla, champagne et petits gâteaux qui sont un terrible frein au démarrage d’un stage, je suis rentré dedans immédiatement. Ces moments de flottement m’inquiétaient tout autant qu’ils m’excitaient, c’est aussi ça le jeu. Pousser un peu mais ne pas bloquer en ayant le mot d’arrêt des jeux (saferword) permet d’emmener la personne dans une ambiance psychologique particulière et, ensuite, d’obtenir son abandon qui la conduira au plaisir et aux jouissances.
Elle a joué le jeu, elle s’est livrée, elle était merveilleuse dans son abandon et dans le plaisir que je suis arrivé à lui donner. Cela ne marche pas toujours aussi bien, surtout quand les personnes sont trop sur la « réserve ».
Mon meilleur souvenir (les autres sont bien, je ne vais vous parler que d’un parmi tant d’autres)
Elle était nue, debout, mains entravées au-dessus de la tête à un anneau de suspension. Au premier contact des martinets, elle s’est tendue mais n’a rien dit. Oh, les coups du début étaient des caresses à peine appuyées, elle ne pouvait pas avoir mal. Quand je l’ai sentie se décontracter, j’ai joué le grand sadique en faisant passer mes deux martinets entre ses cuisses. La partie sensible de son anatomie était caressée par le milieu des lanières alors que les pointes percutaient son petit fessier. Ce jeux de caresses intimes et picotement des lanières lui a rapidement fait lâcher prise. Sa respiration s’accélérait, elle se mordait les lèvres, une attitude m’ouvrant la porte pour aller plus loin. Je me suis amusé à tourner autour d’elle comme un rapace avec mes deux martinets heurtant doucement son corps de partout. Comme elle montait « dans les tours » j’ai pu augmenter un peu la puissance, porter un coup de temps en temps avant de reprendre le jeu pervers des caresses des lanières entre les jambes. La musique et les coups donnés en rythme aident beaucoup au décollage....
Et là, en la voyant franchement décoller, je lui ai dit « c’est trop tôt » on va passer aux fouets. Elle n’a pas entendu, alors j’en ai fait claquer un en l’air, elle est revenue sur terre immédiatement. (Rire sadique) Comme avec les martinets, j’ai recommencé mon jeu pervers avec deux fouets. La monté dans les tours s’est faite lentement mais sûrement, la belle frémissait de plaisir, même quand je commençais à porter un peu les coups. La voyant s’envoler, j’ai pris deux fouets de plus. Quand je les ai passé sur sa poitrine pour qu’elle les sente, elle a juste frémi, elle n’avait plus peur. Hummm nous allions pouvoir aller bien plus loin. J’allais pouvoir lui faire perdre la tête.
A chaque fois qu’elle montait « dans les tours » du plaisir, je recommençais et ajoutais deux fouets. Lorsque je suis arrivé à huit fouets, quatre dans chaque main, je lui ai sorti le grand jeu. Comme j’avais poussé le chauffage pour le bien être de la « soumise d’occasion », je m’étais mis torse nu. De fait, quand j’ai recommencé à la fouetter en enroulé, je me frottait un peu contre elle, nos corps fusionnaient, la complicité se partageait silencieusement. Pour les premiers coups que j’ai réellement porté, j’ai détourné son attention en lutinant ses tétons, elle était tellement dans la sphère du plaisir qu’elle a à peine senti que c’était plus fort. Alors je me suis lâché et je l’ai massacrée ! (NON je plaisante) Alors je me suis lâché pour l’achever en jouant de tout.
La belle se tordait dans tous les sens, non pas de douleur mais de plaisir. Elle ondulait, se cambrait pour aller au devant des coups, elle était sublime à voir. Mes fouets passaient entre ses jambes, caressaient ses seins, son dos, percutaient ses fesses et, en même temps, j’alternais entre grignoter ses tétons, mordiller son cou, me frotter contre elle. Au plus j’augmentais la puissance des coups, au plus elle décollait.
A certains moments elle criait son plaisir, feulait, je me répète, elle était BELLE dans son plaisir. Quand huit fouets vous percutent presque en même temps et un peu partout sur votre corps, vous ne savez plus où mettre votre attention. A plusieurs moments, si elle n’avait pas été attachée elle serait tombée de plaisir. Elle était totalement dans la sphère douleur plaisir. Quand j’ai vu qu’elle risquait de partir trop loin et de perdre connaissance, j’ai décidé d’arrêter, pour une première c’était assez. Je l’ai détachée et allongée sur une couverture et couverte pour ne pas qu’elle ait froid avant de lui donner son biberon de jus de fruit.
** Carpette ci-dessous ce n’est pas une insulte
La « « « « carpette » » » tremblait, son corps était encore agité de petites contractions pendant que je caressais son visage avec une extrême douceur, un peu comme un bébé que l’on veut rassurer. J’étais heureux pour plusieurs raisons. J’avais eu raison de sa crainte de mes fouets, elle s’était envolée et j’avais gagné mon pari intérieur : la faire craquer de plaisir, comment ne pas être heureux ?
Pour moi, cette coquine est franchement top ! Elle est ouverte à l’AB au DL, au fétichisme médical, à la fessée et au BDSM. Tout ce que j’aime ! Elle est intelligente et affiche une grande ouverture d’esprit en plus d’être craquante. J’ai eu beaucoup de chance de recevoir une telle perle et je caresse l’espoir de pouvoir poursuivre « « « la formation de cette soumise d’occasion » » » .
Cette ressource n'a pas encore été commentée. |
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti et est conforme à toutes les règlementations françaises en vigueur. Il contient des textes, des liens et des photos classées X qui peuvent être choquantes pour certaines sensibilités.
Je certifie sur l’honneur :
- être majeur selon la loi en vigueur dans mon pays.
- que les lois de mon état ou mon pays m'autorisent à accéder à ce site et que ce site a le droit de me transmettre de telles données.
- être informé du caractère pornographique du serveur auquel j'accède.
- je déclare n'être choqué par aucun type de sexualité et m'interdit de poursuivre la société éditrice de toute action judiciaire.
- consulter ce serveur à titre personnel sans impliquer de quelque manière que ce soit une société privée ou un organisme public.
Je m'engage sur l'honneur à :
- ne pas faire état de l'existence de ce serveur et à ne pas en diffuser le contenu à des mineurs.
- utiliser tous les moyens permettant d'empêcher l'accès de ce serveur à tout mineur.
- assumer ma responsabilité, si un mineur accède à ce serveur à cause de négligences de ma part : absence de protection de l'ordinateur personnel, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité.
- assumer ma responsabilité si une ou plusieurs de mes présentes déclarations sont inexactes.
- j’ai lu, compris et accepte sans réserve les conditions générales rédigées en français même si j’ai usage d’un traducteur automatique ou non pour accéder à ce site internet.
Toutes les images contenues dans ce site sont en accord avec la loi Française sur la pornographie (aucune image de mineur n'est présente sur ce site)